Le Petit Nicolas mais en Plus Grand - Imaginez seulement que le Petit Nicolas soit devenu Grand ... Les aventures d'un ex étudiant en droit gaffeur, aujourd'hui en poste à Montréal.
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Bienvenue sur le blog du Petit Nicolas mais en Plus Grand !

Ce blog présente les navrantes aventures d'un ex étudiant en droit gaffeur et étourdi, sous la forme de petites histoires tirées de la vie réelle et tournées monstrueusement en auto-dérision. Depuis Juin 2011, le blog traite de mes nouvelles aventures au Canada et de mon installation à Montréal. Il n'est pas nécessaire d'avoir lu les anciens posts pour comprendre les nouveaux, ceci étant, et si c'était par la fin du blog que tout commençait ?

Alors pour reprendre depuis le début : 31 Octobre 2005 - Halloween et moi

Bonne lecture !
Nicopoi@GrandNicolas.com
29 juillet 2008 2 29 /07 /juillet /2008 12:22

Bien que notre dernier passage, datant de l'année dernière, à Hossegor se soit soldé d'un retour de 3h durant lequel le chaton que l'on s'était fait refourguer tentait désespérément de m'inciter à l'utiliser comme limiteur de vitesse (je me disais bien aussi que j'avais beau écraser le champignon, rien n'y faisait et qu'en plus ma voiture couinait plus que d'ordinaire ...) tout en miaulant assez pour couvrir les rugissements de ma 306 aux allures de Char Leclerc, brune et moi étant de nature peu rancuniers, nous décidions de retenter l'aventure ce week-end.

Au cas ou, je faisais réviser ma voiture la semaine précédente.
Dès fois que je doive à nouveau faire un freinage en catastrophe après qu'un chat se soit mis à ronronner du coté du frein à main ...

Nous arrivions donc vendredi soir sans encombre à Hossegor, et non pas que Brune et moi ayons de plus en plus en commun avec le 3ème age (quel est le salop qui a dit « 4ème » ?), mais sitôt passé le pas de la porte de l'amie nous recevant, nous nous effondrions sur le premier canapé venu, tels de bêtes tours New-Yorkaises dont la simple vue dans une énième niaiserie TV fait que les crétins sortent inévitablement l'incroyable banalité « Tiens, c'était avant les attentats ! ».

Osez un peu soutenir que vous ne l'avez jamais dit, tiens.

Mélanie, notre hôte pour le week-end et dont je suis resté le fervent ami malgré le fait que lorsque nous étions sortis ensembles il y'a 4 5 6 ans oh et puis merde, elle m'avait largué par post-it, nous propose que nous allions prendre un verre sur le port.

Et comme le font toutes les personnes qui sont crevées et invitées chez d'autres :
Nous acceptons lâchement, un sourire honteusement pitoyable sur le visage.

Et le pire reste que Mélanie, plus fatiguée que nous, c'était probablement forcée à nous proposer de sortir.

... Dire que je m'étais promis, âgé de 12 ans, de contrevenir à toutes ces conventions sociales qui semblaient barber au possible mes parents.

Nous marchons donc le long du port de quoi essouffler un marathonien Kenyan, lorsqu'un éclair vrille le ciel, au loin au large (répétez très vite ces 4 derniers termes : vous serez surpris de constater à quel point vous avez l'air totalement ridicules). Mélanie blêmit et bafouille un « ouille, il va falloir se dépêcher de rentrer » que je prends avec dédain d'un haussement d'épaule qui ne l'est pas moins.

A tord : 30 secondes plus tard, nous étions en pleine réplique du cyclone Katrina.
J'ai le dédain maudit, c'est un fait.

(...)

Nous sommes de retour chez Mélanie, alourdis de la moitié de l'Océan Atlantique sur nos vêtements. Et comme le fait tout mâle en pareille circonstance : je demande à brune si « elle a pensé, au moins, à nous prendre des affaires de rechange ».

Je deviens limite honteux dans mes répliques délibérément machistes, j'en conviens.

Brune « ayant bien pris des affaires de rechange et t'es sacrément gonflé tout de même », mais jugeant que trempés pour trempés, autant les conserver pour le lendemain, nous entamions un streap tease devant une Mélanie ébahie (... par le fait qu'un Nico connu pour son régime de naguère limite anorexique puisse s'être muni d'un ventre Achile Talonnesque ?), avant de déplier le canapé et d'espérer enfin s'y effondrer, définitivement.

C'était encore une fois prêcher par un (monstrueux) trop plein de naïveté.

« Ah, tiens, voilà le premier de mes colocs qui arrive », s'exclama la Mélanie.

... Brune tente de planquer ce qu'elle peut derrière le premier bouquin qui passe à sa portée. J'hésite trop longtemps entre me planquer sous les draps et tenter de rester naturel.

Résultat, je ne suis ni planqué ni naturel lorsque sa coloc rentre dans l'appart.

Je redeviens en un éclair un ado timide et crétin. Je me lève pour lui faire la bise, au risque de devoir assumer (mal) mes 3 kg de trop ? Je reste assis en priant pour qu'elle se contente d'un bonjour de politesse ?

Solution foireuse de ni-ni : je me retrouve à genoux à bégayer un bonjour gêné en même temps qu'elle se penche pour me faire la bise et constater mon ventre Otaresque (dérivé d'Otarie, ne cherchez pas dans le dico).
Brune fait un sourire niais tout en réajustant son bouquin à la hauteur de sa culotte très transparente.

Arriva le second colocataire.

Très rapidement suivi du troisième, en fait.

(...)

La dernière fois que j'avais été aussi gêné de ma vie, c'était lorsque étant aller la trouver une larme à l'œil et une grimace très expressive sur le visage, ma grand-mère m'avait fait remarquer non sans une certaine ironie que « tu comprends maintenant pourquoi il vaut mieux mettre un caleçon lorsque l'on porte un jean à fermeture éclair ? » ...

Ça valait bien la peine de faire 400 bornes pour se rappeler un souvenir aussi crétin, tiens.

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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 13:08
Je viens de me rendre compte en jettant un coup d'oeil à la poubelle sous mon bureau au travail, que j'aurais peut-être une légère tendance à abuser du Red-Bull, ces temps ci ...

Et le plus marrant dans l'histoire, c'est que je suis en plus foncièrement persuadé que c'est une boisson "Placebo" aussi efficace concrêtement qu'une Formule 1 au milieu d'un champs de mines Cambodgien.

C'est dire, donc.


Ps/Grand jeux de l'été : Une bouteille d'eau s'est perdue au milieu d'une marée noire de canettes Red-Bull. Sauras-tu la retrouver ?


Nota Bene/ Glups! : Lu sur Le Figaro.fr (j'vous jure, c'est un accident !) :

Roselyne Bachelot conseille le boycott du Red Bull (lien)
"
(...) En juin, elle (Roselyne Bachelot, ndrl) a réitéré, en faisant part de ses «grandes réserves» sur ce «cocktail détonant»: «Le Red Bull est sous surveillance et à tout moment, dès que des éléments probants seront portés à ma connaissance, bien entendu nous interdirons le produit», avait déclaré la ministre de la Santé, lors d'un débat au Sénat sur la lutte contre les addictions"

Bien bien bien.
Mme Bachelot ...
... Quand vous ferez une déclaration semblable sur les OGM, vous me tenez au courant ?

Ah ah. C'te buse, non mais j'vous jure.


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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 09:58

Hier midi.

Je devais retrouver un ami que je n'avais pas vu depuis quelques temps, et lui avait donné rendez vous place de la Halle aux Grains (pour les non-Toulousains, il s'agit -pour faire court- d'une place aussi bruyante qu'une piste d'Orly à l'heure de pointe) afin de déjeuner ensembles dans la joie et la bonne humeur.

Autrement dit, on a pas mangé et on a picolé comme des cons, ce qui nuisit sans conteste à ma productivité l'après midi venue.

En même temps, "fin-Juillet" et "Productivité" me semblent êtres des notions tout de même difficilement compatibles.

Alors que j'arrivais sur la place de la Halle aux grains, je tentais de distinguer à travers l'une ou l'autre émission de gasoil frais et moins dense que d'ordinaire les différentes silhouettes poireautant sur la place, lorsque j'avisais celle de mon ami, me faisant instantanément dans ma tête le genre de réflexion personnelle dont j'ai l'abominable recette.

« Non seulement il a une chouette barbe, mais il est plus grand que moi. L'enculé. »

Après avoir travaillé durant 3 ans dans un cadre incroyablement féminin, forcément que j'ai pris quelques unes des si charmantes caractéristiques qui font la personnalité du sexe faible.

La médisance à 2 balles ? Entre autre.

Je m'approchais de lui, et avant qu'il ne se retourne, je lui tapais dans le dos tout en parlant suffisamment fort pour rendre inaudible une cérémonie d'ouverture d'un massacre Olympique :

« C'est marrant, ça te donne un vague air de Beatles attardé ! »

Il s'est retourné.
Mais ce n'était pas lui.

Encore un long, long, long moment de solitude que ce moment là.

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23 juillet 2008 3 23 /07 /juillet /2008 12:55

... Un article d'ici la fin de la journée.
Mais avouez que ce n'est pas toujours facile de se mettre devant son ordinateur plutôt que de faire le gaga devant ses peluches rousses.

Allez, encore une ou deux boites de Sheba et la future fourrure de Brune sera à point.
















 
A propos de ronron, je vous renvoie vers l'excellent blog des grumeaux, dont est extrait l'image ci-dessous (en priant pour que l'auteur ne se soit pas muni d'un abominable avocat spécialiste du droit d'auteur. Brrr). Cliquez sur l'image pour visiter le dit-blog ...
























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21 juillet 2008 1 21 /07 /juillet /2008 16:12
« Donc n'oubliez pas, premier pont, vous passez à gauche, le second pareil, et le troisième au milieu.
- Parfait », répondais-je pour couper court aux explications du loueur, parce que bon, pas qu'il soit déjà 16h, mais si on voulait arriver avant la nuit, fallait pas déconner non plus.

Par conséquent, 6 secondes plus tard, j'avais tout oublié de ses explications.
Évidemment.

« Installez vous ... c'est parti, je vous pousse ! » , nous lançait un pré- pré-ado au visage à la texture pas forcément si éloignée d'une croquette pour chat Friskies.

Le bateau s'enfonce gentiment dans l'eau.

... Juste le temps nécessaire pour que l'adulte responsable des locations, aux allures beaucoup plus proches, lui, des chasseurs fans de cochons de « Délivrance » et qui venait de voir d'un œil distrait la scène, de se réveiller, et de se mettre à courir dans notre direction en poussant des cris de coch... goret.

« Attendez ! Vous avez oublié le bouchon !
- Le quoi ?
-Le bouchon ! Il vous manque le bouchon du bateau ! »

Le ton de l'après midi était donné.

(...)

Lorsque l'on longe les gorges de l'Aveyron de sa 306 rouge mais aux allures de Kangourou (Suis-je le seul à avoir une voiture reproduisant les vibrations connues à San Francisco le 18 Avril 1906 ?), on envie naïvement les canoës passant en contrebas, poussant un soupir d'envie en regardant ces gamins qui rigolent crétinement sur leur esquif aux couleurs détonantes (le jaune fluo, c'est une obligation pour flotter ?) à s'arroser de coups de bêtes pagaies.

On imagine pas que le résultat ne serait pas du tout le même si soit même on avait l'idée saugrenue de monter à bord de pareil esquif.

« Bon dieu Brune, freine ! Freine ! », ce n'était effectivement pas dit dans la joie et la bonne humeur.

Mais faut avouer que la perspective de passer par dessus le barrage de quelques mètres de haut tout de même ne m'enchantait pas des masses.

Après avoir montrés à des Hollandais ébahis la raison pour laquelle la France c'est pris une dégelée à Trafalgar, et passés le premier barrage présent sur notre « route », brune et moi soufflions comme il se doit après une première épreuve digne de ce nom.

Souffler, c'est même un euphémisme, vu la déferlante qui s'en suivit :
« Bon dieu, tu pouvais pas freiner ?
- Mais comment veux tu qu'on freine ?
- Enfin quoi, on a failli s'enquiller le Hollandais !
- Tu pouvais pas virer à gauche, toi ? »

... Le canoë sur les gorges de l'Aveyron a beaucoup en commun avec l'odieuse expérience que l'on nomme « faire conduire sa brune sur une petite route ».

Après cette légère altercation, nous comprenions qu'après tout, on était là pour se détendre et rigoler, et puis que c'était trop con de se fâcher pour si p...

Brrrroum.

Ça, c'était le canoë qui s'échouait de façon tellement piteuse que même le capitaine du Titanic nous aurait gratifié d'un commentaire acerbe.

En l'espèce, il n'était de toute façon pas nécessaire qu'il s'en mêle.

« Mais tu ne pouvais pas regarder où tu vas ?
- Je ne peux pas, tu es devant moi, c'est à toi de me le dire ! »
Etc.

Manœuvrer un canoë, c'est probablement l'oubli majeur dans la liste des crimes contre l'humanité. C'est tout simplement insupportable : tu donnes un coup à gauche, ton bateau part à droite; tu donnes un coup à droite, ton bateau part à droite de plus belle; tu redonnes un coup à gauche, dès fois que y-ait eu un bug sur le coup précédent ?

Bim !
Tu assommes à moitié ta brune.

Et tu comprends qu'il aurait mieux valu tant qu'à faire l'assommer entièrement.
... Ça raisonne sacrément les jurons dans les gorges de l'Aveyron.

Arrivés à mi-parcours, nous nous arrêtions sur une « plage privée », sorte de camping sans crétins à casquettes et véhicules ridicules, pour y acheter une glace, seule denrée alimentaire accessible à notre bourse, particulièrement vide du fait que j'avais eu l'idée intelligente de laisser tous mes sous dans la voiture.

J'ai soupçonné brune concevoir un instant l'idée du cannibalisme.

Après avoir passé ainsi quelques minutes à manger notre glace en regardant des gamins sauter d'un rocher assez haut dans la rivière, sans nous avouer que nous attendions morbidement le premier cas du crétin qui se vautrerait dans un bain de sang, nous repartions.

Et je m'alarmais très rapidement de voir le bateau prendre plus la flotte qu'un grain de riz dans une rizière.

« Brune ? Loin de moi l'idée de vouloir te paniquer, mais, euh, si on se dirigeait vite vers la rive ? »

Brune nous fait vivement bifurquer vers la rive.
Non sans avoir paniqué.

N'est pas Rose qui veut.
Mais je ne suis pas un Jack très convaincant, il est vrai.

(...)

Nous nous étions assis dans le sens inverse du bateau.
Et le manœuvrions en conséquence (mal ? Entre autre), sans parler du fait que les évacuations d'eau du bateau fonctionnaient de par notre erreur aussi à l'envers.

Blub, donc.

Brune, pour l'aviron, je propose que l'on s'entraîne à tout hasard dans un coin moins fréquenté, pour commencer.

L'Alaska ?


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16 juillet 2008 3 16 /07 /juillet /2008 16:09
La communication dans un couple ?
C'est simple comme un échange de mail.


Exemple (fortuit) - Prenons l'exemple de l'échange de messages en apparence tout mignons suivant :


From: brune@hotmail.com
To: kiforever@hotmail.com

Subject: RE:
Date: Wed, 16 Jul 2008 16:06:28 +0000


Coucou
 
Qu'a tu prévu pour ta soirée alors mon chaton?
Moi j'irai direct chez Mélanie, je meurs d'envie de te faire un bisous, on s'en fera un ce soir.

 

From: kiforever@hotmail.com
To: brune@hotmail.com

Subject: RE:
Date: Wed, 16 Jul 2008 16:07:28 +0000

Je retrouve Fwoin et Mat, on mange chez Mat et après on verra.

Oui on se fait tout plein de bisous quand je rentre ma puce adorée, merci d'avoir accepté si gentiment pour ce soir, m'en souviendrais. Je suis persuadé que tu vas passer un bon moment avec tes copines. Gros bisous.


Ninou



Traduisons maintenant ces 2 messages en langage non Onusien.
En rouge, ce que voulaient vraiment dire leurs auteurs :



From: brune@hotmail.com
To: kiforever@hotmail.com
Subject: RE:
Date: Wed, 16 Jul 2008 16:06:28 +0000


Coucou (dis donc, tu n'allais pas partir du boulot sans m'envoyer un dernier mail ?)
 
Qu'a tu prévu pour ta soirée alors mon chaton? (Pourvu qu'il ne se rende pas compte que je suis morte d'inquiétude à l'idée de le laisser sortir seul avec ces copains sachant qu'ils vont picoler comme des Ours)
Moi j'irai direct chez Mélanie (et toi ???), je meurs d'envie de te faire un bisous (tu m'aimes toujours depuis la dernière fois ou tu me l'as dit, soit hier soir 23h54min19sec ?), on s'en fera un ce soir (n'oublie pas de rentrer sinon la Wii passe par la fenêtre).




From: kiforever@hotmail.com
To: brune@hotmail.com

Subject: RE:
Date: Wed, 16 Jul 2008 16:07:28 +0000
(mais non je ne t'oublie pas, la preuve je te réponds en moins d'une minute)

Je retrouve Fwoin et Mat (pas de fille donc), on mange chez Mat (rassure toi, nous sommes en terrain assexué) et après on verra. (après on verra.)

Oui on se fait tout plein de bisous quand je rentre ma puce adorée (j'ai bien compris que j'avais pas intérêt à trainer en route), merci d'avoir accepté si gentiment pour ce soir (mais n'oublie pas de me laisser faire ma soirée puisque tu me l'as autorisée), m'en souviendrais (j'ai pas fini de te masser les pieds, moi). Je suis persuadé que tu vas passer un bon moment avec tes copines (pourvu qu'elles t'occupent). Gros bisous. (comme disait l'autre, tu vas prendre)


Ninou (le premier qui rigole, je le massacre. Ca arrive à tout le monde de se laisser infliger dès le départ et malencontreusement des surnoms grotesques sur lesquels on ne peut plus revenir par la suite)


 

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16 juillet 2008 3 16 /07 /juillet /2008 13:16
Si tu fais partie des sceptiques qui considèrent comme totalement improbable les allégations selon lesquelles :
- J'aurais une démarche d'invertébré qui se serait trouvé une colonne d'occasion aux puces
- J'ai des répliques cinglantes qui font hocter de rire Audiard dans sa tombe (comment ça il a été incinéré ?)
- J'ai bien glissé sur une peau de banane en plein Berlin, renouvelant le cliché le plus éculé de la Terre et médusant les Berlinois qui pourtant en ont vu d'autres, alors je peux bien me casser la figure accidentellement dans un monde virtuel
- Brune serait d'une jalousie maladive et installerait des mitraillettes autour de mon avatar sitôt disponibles dans le jeu

Alors toi aussi, découvre ce nouveau monde virtuel dont nous gratifie Google, "Lively"!

NB : Raseurs et Bernard Tapie, s'abstenir.




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15 juillet 2008 2 15 /07 /juillet /2008 09:52
Je suis en train d'écouter Kyo.

... Comme régression lamentablement décadente, on fait difficilement pire.

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11 juillet 2008 5 11 /07 /juillet /2008 18:28
MAJ : Au temps pour moi, il s'agit non pas de 285 Millions d'Euros mais d'un peu plus de 400 Millions.
Excusez du peu.
A lire : enfin un article, paru sur le monde, qui feint de s'étonner de "l'étonnant" choix de la médiation quand la Cour d'Appel n'avait plus qu'à donner l'extrême onction aux prétentions de Tapie.
Sinon, j'ai peur que l'Automne ne passe pas l'Hiver, comme disait l'autre.

L'article :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/07/14/dossier-adidas-toujours-plus-pour-bernard-tapie_1073171_3224.html#ens_id=1072762

________________________


Retour sur cet article :
http://www.grandnicolas.com/article-13358085.html , qui expliquait les "motivations" de Bernard Tapie, ancien ministre de gauche, à soutenir Nicolas Sarkozy contre Ségolène Royal lors des présidentielles.


Lu ce jour, sur Yahoo Actualités :


Affaire Adidas: Bernard Tapie obtient réparation du Crédit Lyonnais

AFP - il y a 40 minutes

PARIS (AFP) - Après 13 ans de bras de fer avec le Crédit Lyonnais, Bernard Tapie a obtenu satisfaction devant la justice qui a condamné vendredi le Consortium de Réalisation (CDR) gérant le passif de la banque à verser réparation à l'ancien homme d'affaires pour le préjudice subi dans le dossier de revente d'Adidas.

Formé de trois personnalités, le tribunal arbitral chargé de solder ce litige, a condamné vendredi le CDR à verser 285 millions d'euros à M. Tapie qui s'estimait floué d'une plus-value conséquente réalisée par la banque lors de la vente d'Adidas en 1993.

Bernard Tapie a confié à l'AFP qu'il était "très heureux", se refusant à tout autre commentaire au nom d'une clause de confidentialité.

"Les arbitres allouent aux liquidateurs du groupe Tapie une indemnité en principal de 240 millions d'euros, au titre du manque à gagner, et une autre indemnité de 45 millions d'euros au titre du préjudice moral", selon un communiqué du CDR.

Le trio arbitral - Pierre Mazeaud, ancien président du Conseil constitutionnel, Jean-Denis Bredin, avocat, et Pierre Estoup, magistrat - a retenu "la responsabilité des banques (SDBO et Clinvest)". La Société de banque occidentale (SDBO) était la filiale du Crédit Lyonnais qui était chargée de vendre Adidas, tandis que Clinvest avait un rôle de conseil sur cette opération.

"Deux fautes ont été commises", souligne le tribunal, retenant "un manquement à l'obligation de loyauté" avec un défaut d'information et "une violation de l'interdiction de la banque mandataire de se porter contrepartie en achetant directement ou indirectement le bien qu'elle est chargée de vendre".

Si elle scelle l'objet central du contentieux, cette décision n'est que "partielle" avant un jugement définitif prévu d'ici fin juillet, selon une source proche du dossier.

En effet, il reste encore à apprécier les conséquences fiscales du montant de la réparation retenu, de sorte que le jugement s'applique dans des conditions de neutralité fiscale au vu des changements ayant pu intervenir depuis l'éclatement de l'affaire.

L'arbitrage fiscal sera plaidé par les parties devant le tribunal le 24 juillet, selon la même source.

Dans un communiqué, le ministère des Finances a réagi: "Cet arbitrage, rendu par des personnalités incontestables, avait été engagé par les parties pour mettre un terme définitif à des procédures contentieuses ouvertes depuis presque quinze ans".

Bercy a ajouté que "la plus grande part de l'indemnité (...) retournera aux caisses publiques, par le règlement de la créance détenue par le CDR et par le paiement des impôts et des cotisations sociales qui étaient dus à l'Etat".

Le CDR détient en effet une créance "brute" de 163 millions d'euros sur les liquidateurs du groupe Bernard Tapie, a précisé le président du CDR, Jean-François Rocchi, ajoutant qu'il allait "expertiser" la possibilité de déposer un recours en annulation.

Les liquidateurs du groupe Bernard Tapie avaient proposé au CDR, à l'été 2007, de régler en une seule fois tous les procès qui les opposent depuis 1995 en les soumettant à un tribunal arbitral.

En octobre 2006, la Cour de cassation avait cassé la condamnation du CDR à verser 135 millions de dommages et intérêts à Bernard Tapie, estimant qu'aucune faute n'était caractérisée à l'encontre du Crédit Lyonnais lors de la cession du groupe Adidas à Robert Louis-Dreyfus en 1993-1994.

Elle avait également décidé de renvoyer le dossier devant la cour d'appel de Paris, réunie dans une autre composition, pour le rejuger.


>>> Résumons : La Cour de Cassation a cassé une décision de Cour d'Appel qui octroyait à Mr Tapie la somme de 134 Millions d'Euros au titre de son "préjudice" (sic), et renvoyé le dossier devant une Cour d'Appel afin que cette dernière ne confirme que Mr Tapie était particulièrement gonflé de réclamer le moindre sou et ne le renvoie à ses pénates, un coup de pied au cul en prime.

Ce dernier soutient alors Mr Sarkozy à la présidentielle.

1 an après l'élection de ce dernier, une commission d'arbitrage, qui est au tribunal ce qu'est l'hygiène au sein des WC publics placés au milieu des Férias de Bayonne, décide d'aller contre l'avis de la Cour de Cassation, et octroie 285 Millions d'Euros à Mr Tapie, le Ministère des Finances commentant l'évènement en disant que "ce n'est pas si grave, une partie reviendra tout de même à l'Etat".

... Et encore merçi pour la soupe, Mr Tapie.

... Je vais finir par vouloir le retour de la guillotine place de la Concorde.



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11 juillet 2008 5 11 /07 /juillet /2008 14:13
... Un grand merçi à mon dad d'avoir retrouvé cette photo qui me fit gagner une GameBoy, en cette ouilleouch argh! lointaine année 1993. (article lié : http://www.grandnicolas.com/article-12904401.html )

Le premier qui fait une reflexion sur ma coiffure furieusement tendance d'alors, je le défrise.



Note Personnelle :
Voilà Brune, tu sais maintenant pourquoi il m'a fallu un certain temps avant d'arriver à reporter des polos.
... Et tu sais maintenant pourquoi pour le short, il me faudra encore une bonne trentaine d'années.


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