Le Petit Nicolas mais en Plus Grand - Imaginez seulement que le Petit Nicolas soit devenu Grand ... Les aventures d'un ex étudiant en droit gaffeur, aujourd'hui en poste à Montréal.
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Bienvenue sur le blog du Petit Nicolas mais en Plus Grand !

Ce blog présente les navrantes aventures d'un ex étudiant en droit gaffeur et étourdi, sous la forme de petites histoires tirées de la vie réelle et tournées monstrueusement en auto-dérision. Depuis Juin 2011, le blog traite de mes nouvelles aventures au Canada et de mon installation à Montréal. Il n'est pas nécessaire d'avoir lu les anciens posts pour comprendre les nouveaux, ceci étant, et si c'était par la fin du blog que tout commençait ?

Alors pour reprendre depuis le début : 31 Octobre 2005 - Halloween et moi

Bonne lecture !
Nicopoi@GrandNicolas.com
13 décembre 2008 6 13 /12 /décembre /2008 14:13

 

« Désolé monsieur, mais vous n'allez pas pouvoir rentrer avec votre bouteille d'eau dans le Tribunal ... »


Le lundi matin à 9h du mat, j'ai beau ne pas être réveillé et être entouré de Japonais qui croient utiles de photographier du policier dans l'exercice de ses fonctions, je me rends tout de même compte lorsque l'on me fait une remarque d'une futilité qui ne le cède qu'à l'absurde.


« Mais … pourquoi ?

- Elle pourrait vous servir de projectile.

- … Si j'ai bien compris, je peux rentrer avec mon ordinateur portable qui posé sur un levier suffirait à projeter en orbite de Pluton une rame entière de TGV et qui pourrait assené dans la nuque d'un avocat à le rendre vaguement modeste, mais la bouteille d'eau évian, ce n'est pas possible.

- Euh, non. Ceci étant, si vous comptez assommer un avocat, je me permets de vous avertir charitablement que la période de la chasse n'est pas encore ouverte.

- Bien vu. Dommage ... »


Sur ces entrefaites et après ce dialogue pas totalement fictif, je prenais la direction du café situé sous les marches du Palais, non sans m'être demandé, durant les quelques secondes nécessaires pour traverser la cour très exposée ce jour là à un petit vent de type sibérien, si les scénaristes du jour d'après n'avaient pas fait le même chemin lorsqu'ils avaient imaginé leur concept de vortex à température très négative.


Faut avouer que oser la petite chemise sous une veste légère un 8 Décembre à Paris, c'était tout de même très optimiste.


Je viens de comprendre pourquoi cela fait 4 semaines que j'ai une toux de leucémique du poumon.

Oui je sais, ça n'existe pas, c'était pour faire imagé.


Après avoir savouré un petit chocolat chaud tout en relisant mes notes et en écoutant les avocats autour de moi s'échanger des informations qui auraient pu me permettre de dévaliser ce jour là la bourse de Paris, si du moins je n'avais pas par moment une mémoire de poulpe ayant subi une ablation du cerveau, je prenais la direction de la 17ème chambre.


Oui, 17ème chambre, parce qu'il y'en a beaucoup.

Pour ce faire une idée, le TGI de Paris ressemble beaucoup à une boite de nuit qui proposerait plusieurs salles à thème.


N'empêche que perso, je regrette de n'y avoir jamais trouvé la chambre 80.

Mais passons.


La 17ème chambre est spécialisée dans les délits de presse, et vu que la presse a fini par comprendre que les salariés à leur boulot ne peuvent pas lire discrètement leurs journaux en papier qui font trop de bruit (inventer le papier insonorisé, c'était si compliqué ?) et publie par conséquents ces canards de plus en plus souvent sur le net (ce qui permet donc aux salariés d'être vachement crédibles quand il prennent des allures très sérieuses à scruter ainsi leur écran de pc), la 17ème a étendu assez largement son champs d'intervention à tout ce qui concerne de près ou de loin internet.


Et c'est chouette, parce que j'adore l'un de ses juges, et c'est justement celui devant lequel je passe ce matin.


C'est bien simple, ce juge est un peu le prof fétiche que l'on a tous eu un jour ou l'autre au Collège. Genre, celui vaguement sévère mais sympa, qui trouvait un bon mot pour faire rire la classe lorsque l'on tentait de le prendre pour un couillon lorsque l'on tendait fébrilement un mot d'excuse de l'infirmerie monstrueusement antidaté, en tout cas largement antérieur à l'heure du contrôle qu'on venait de sécher.


Monsieur Galaup, vous restez mon dieu et maître.

Non, Galaup, c'était le prof de techno du collège, pas le juge. Bref.


Je rentre donc dans la salle d'audience. Très grande et pas foncièrement moche si on aime les boiseries du 18ème siècle mais ce n'est pas mon cas donc bof, le moindre pas y raisonne violemment d'autant que je n'ai toujours pas trouvé de solutions pour concilier les notions de chaussures de villes et de chaussures qui ne font pas le bruit des éperons d'un cowboy martelant un sol en fibres de zinc et de verre, et qu'elle est presque vide, occupée par seulement deux avocates qui s'affairent.


Je subodore qu'elles sont les méchantes-méchantes qui attaquent ma gentille entreprise.

Je les déteste instantanément, donc.


Oui, j'ai un incroyable don pour détester les gens à la demande.


Tout en m'installant à mon tour, je les observe en train de déballer leurs plaidoiries, et voyant apparaître sur l'un des dossiers déballés le nom de l'actrice qui n'assume plus d'avoir dans sa jeunesse présenté d'étonnantes dispositions pour le nu intégral, et qui est donc la raison pour laquelle je suis au tribunal ce lundi matin, je me décide à aller tout de même dire bonjour aux avocates.


… Et puis, ça me permettra éventuellement de regarder du coin de l'œil si y'aurait pas une pièce ou l'autre dans leur dossier dont je n'aurais pas connaissance et sur laquelle je pourrais vite préparer une défense.


Oui, j'ai aussi le bonjour très intéressé.


« Bonjour, vous venez pour Edith Piaf ? »


Certains noms ont été modifié pour les besoins du récit.


« Oui, vous êtes l'avocat d'Edith ?

- Ah non, ce n'est pas vous ?

- Ben non, nous représentons la société attaquée par Edith.

- Ah mais d'accord, Edith a attaquée plusieurs sociétés ! C'est laquelle la vôtre ? Ah ah c'est drôle tout de même. Et c'est quoi votre petit nom ? »


J'ai un don incroyable pour faire ami ami avec les gens que je détestais virtuellement quelques secondes plus tôt.


Et ok, je n'ai pas demandé son petit nom à l'avocate.

C'était pour imager la scène, quoi. Com d'hab.


… Je le précise, on se fait défenestrer par une brune pour beaucoup moins que cela.


Les portes de la salle s'ouvrent bruyamment, pour laisser le passage à l'avocat qui a jugé utile d'attaquer la moitié de la France pour une banale histoire de photos même pas ôlé ôlé.


Pas que je parle en connaissance de cause, mais tout de même.


J'ai beau chercher, je ne vois pas d'autre moyen de décrire l'impression qui fut la mienne sur le moment, autre que de dire que j'eus l'impression de voir débarquer l'intégralité du cabinet d'Ally McBeal : un avocat suivi de ses acolytes (avocats ? Potentiellement si les muets peuvent l'être, je ne les ai pas entendu de la matinée), tirant en valises dégorgeant de dossiers de quoi faire nourrir des volontés suicidaires au plus papivore des bureaucrates.


Le juge rentre à son tour dans la salle.

Il jette un regard surpris sur l'Everest de dossiers que déballe McBeal (certains noms ont été modifiés pour … etc.).


Je relis nerveusement mes dernières notes.


… La vache, j'ai la même peur qui me broie les tripes et me démolit les jambes que lorsque en amphi, les sujets d'examen commençaient à être distribués ...




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11 décembre 2008 4 11 /12 /décembre /2008 09:49
Je laisse à votre libre appréciation (pas trop ironique tout de même ou je serais en devoir de vous casser les rotules, le mail émanant de ma douce et adorable maman) le mail suivant que je viens de recevoir ...



Nico,

Est-ce que tu sais s'il y a un tarif particulier avec la messagerie (outlook, hotmail ou autre) quand tu as accès à ta messagerie quand tu es à l'étranger.

Exemple tu es aux USA et tu veux consulter tes messages sur hotmail ou outlook et tu veux en envoyer aussi. Est-ce qu'on te fait payer quelque chose en plus sur ton abonnement ?

Je te pose la question car je ne peux pas appeler FREE pour leur demander car je n'ai que mon portable.

Peux tu me donner la réponse ?

Bisou
Mam



Oui, je sais.

Quelqu'un peut me rappeler où se trouve le gaz, s'il vous plait ?
Non parce que bon, 10 ans de formation intensive
de mes parents à internet, et recevoir ce mail ...

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10 décembre 2008 3 10 /12 /décembre /2008 09:52

Ah ah, je parie qu'on t'avait jamais fait le jeu de mot, vieux.
... Si ? Tiens, surprenant.

Bref, ou voulais je en venir, moi ? Ah, oui.


Les aminches, sachez qu'une guerre cruelle se joue actuellement sur la blogosphère Toulousaine, une guerre sanguinaire où tous les coups sont permis (y compris bruler au 3ème degré le genou de son adversaire au squash. C'est fou ce que t'as la peau qui marque, tout de même, Ced), surtout les plus cruels.

Oui, dire qu'une visite de ta part doublerait mes stats actuelles, c'est cruel, Ced.

Donc, disais je, une guerre cruelle entre blogueurs Toulousains, guerre forcément déséquilibrée parce que inexplicablement, un blogueur qui dessine dans la facilité et la luxure (par exemple des animaux d'un banalité affligeante, genre le panda. Par exemple, hein) attire systématiquement 10 fois plus de lecteurs qu'un blogueur qui écrit, fut-ce brillamment (j'invente rien, c'est cette étude très sérieuse qui le dit). C'est pourquoi, pour montrer à l'ennemi goguenard qu'il y'a certes faiblesse mais qu'elle n'est que passagère des stats de ce blog, je demande à mes grognards de rentrer activement dans la lutte, et de tiens pourquoi pas envoyer l'adresse de ce blog (cliquez sur ce lien, vous allez voir c'est hillarant, si si !) aux amis/parents/connaissances travaillant dans une administration (mon lectorat le plus fidèle, inexplicablement) afin que ce blog retrouve tout son poids dans la blogosphère et n'écrase d'un dédain dédaigneux celui du comique à gros nez qui me nargue.

... Ok Ced, ca, c'était un coup bas ^^.

Cliquez sur l'image ci-dessous pour connaitre la suite de l'histoire narrée par le Ced.
Notez par quel habile procédé technique le dessinateur arrive à me contrarier en ne me dessinant pas entièrement.

Rah.


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9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 14:19

Forcément, il n'y a pas que des désavantages a porter la marque de l'infamie sur sa carte d'identité.


Et pourtant, chaque fois que je lisais dessus « né à Paris 15ème », j'hésitais lourdement à aller traiter un sumo de maigrelet, histoire de refermer douloureusement le chapitre de mon inconséquence existence.


Prévert, t'étais qu'un niais surfait.


Ainsi, j'ai acquis, par ma naissance dans un arrondissement pas forcément aussi bourge que Neuilly mais ils font des efforts pour combler leur retard, cet incroyable don qu'ont les parisiens pour s'adapter sans le moindre effort à tout retour dans leur ville natale.


Autrement dit, dès que je débarque de l'avion, comme par exemple lundi dernier aux joyeux alentours de 23h, je fais une tronche à faire peur à un inspecteur des impôts confirmé, les yeux mauvais, la démarche impérieuse et pressée d'un anorexique à qui l'on aurait proposé de reprendre un peu de graisse de magret de canard, pour la route.


Je pense que j'ai bien dépeint la mine d'un Parisien dans son habitat naturel.

... Et qu'il me sera difficile de trouver un ami pour me loger la prochaine fois que je descendrais dans le Grand Nord.


Oui, chez nous dans le Sud, on dit redescendre, ça illustre bien le coté « je pars pour le Pôle Sud » que constitue toute odyssée à Paris ...


Bref, après avoir piétiné sauvagement les quelques crétins qui avaient le malheur de se trouver du coté gauche du tapis roulant rapide qui permet aux passagers d'Easyjet d'oublier qu'ils n'ont pas atterri exactement sur Orly, mais plutôt et plus surement du côté de Brest -au vu de l'isolement du terminal réservé à cette société-, je recherche activement le Orlyval, un espèce de métro infâme que l'on paye un demi-bras pour parcourir les 3 malheureux kilomètres séparant l'aéroport de la ligne B du RER, une infamie roulante encore plus glauque qu'un plat mijoté servi à un candidat de Fear Factor.


J'ai même vu des types rebrousser chemin vers Orly une fois qu'ils avaient vu l'horreur que constitue la gare d'Antony, c'est dire.


Après avoir parcouru la moitié de l'aéroport à la recherche de ce foutu Orlyval, j'arrivais enfin à le dénicher avant d'avoir commencé à être trop violent envers le personnel des aéroports de Paris.

Enfin, heureusement tout de même que le dernier que j'avais croisé était maintenant trop amoché pour que je lui fasse part de mon amertume de devoir banquer 10 euros pour son foutu métro pourri qui amène même pas à Paris, d'abord.


« Paiement refusé », suivi d'un bip si strident que j'ai vu un chien qui passait à proximité tomber raide mort lorsque l'ultrason allait lui broyer la moitié de ce qui lui sert de cerv... crane.


Une petite goutte de transpiration coule sur mon front.

Suivie immédiatement d'un demi jerrycan de transpiration qui m'inonde les yeux (ca pique en plus cette horreur là !) et me noie à moitié, en exagérant à peine, bien évidemment.


3933, vite.


« Oui allo de quoi avez vous besoin pour m'identifier ?

- Juste votre nom et votre prénom ...

- Poi-rier Nicolas

- Comment, vous dites ? »


Petite parenthèse.

Le prochain qui ne comprend pas mon nom, dès le premier jet, je l'empale à la cloche du capitole avec une pancarte autour du cou « N'est pas capable d'entendre sans difficulté le nom de plus commun et facile orthophoniquement parlant de France ».


« Poi-rier, comme l'arbre »


Non, parce qu'il y'en a tout de même un peu ras le cul de devoir expliquer mon nom de cette manière.


Surtout quand j'entends l'autre murmurer, en même temps qu'il tape sur son clavier : « P...O...I...R...I...E...T ».


Pourquoi pas Poulet, ducon ?


« Bien, que puis-je pour votre service monsieur ?

- Eh bien il se trouve que je viens de débarquer à Orly, que j'ai voulu acheter un ticket de ce racket organisé que l'on nomme Orlyval, et qu'il m'a été affiché à l'écran de façon fort peu courtoise « Paiement refusé ». Alors, j'aimerais savoir si la nouvelle politique de votre banque consiste à éviter à ses clients des achats qu'elle juge à raison inutilement ruineux, ou y'a t-il un problème ?

- Ah, euh, attendez, je cherche sur votre compte ... »


3 très longues minutes à penser inexplicablement à une partouze de pouces en écoutant une petite musique insupportable passent.


« ... Votre nom, vous m'avez dit que vous l'écriviez comment ? »


3 minutes supplémentaires passent.

J'en profite pour achever l'employé d'Orly sur lequel j'avais déjà passé mes nerfs, tiens.


« Bien, monsieur Poooirriais (il veut la mort, lui aussi, ou quoi ?), il semblerait que vous soyez à découvert de 880 euros ... »


Glubs.

Je retourne mes poches, et réunis péniblement en pièces dépassant rarement les 13 centimes (sic) une somme avoisinant les 3 euros.

Je repense à ces daubes imprimées que l'on nomme généreusement « journaux » et que je me suis acheté à Toulouse Blagnac, et qui m'ont autant appris d'infos que ma dernière cousine lors de notre avant-dernière entrevue.


... Gazou-Gazou, avouez que c'était tout de même pas vachement pertinent.


« Ah, euh, oui, j'ai vu cela avec ma banquière, une somme d'argent devait passer ce matin sur mon compte, elle m'a même dit que la somme avait été décaissée . »


Et le drame, c'est que c'est la première fois en 10 ans de découverts que ce mensonge de circonstances n'en était pas un.


« Ah, oui, c'est exact Monsieur Poitiers (Tiens, ils le prennent vachement résistant, le salarié, à Orly ! J'aurais juré qu'il vient de bouger un peu ?), je vois la somme inscrite en prévision sur votre compte.

- Bon, donc vous pouvez provisoirement monter mon droit au découvert pour ce soir, que je puisse enfin sortir de cette sinistre aérogare ?

- Euh, non. »


Tout de même, faudrait que je songe à arrêter de taper sur un mec au sol, on est jamais à l'abri d'une poursuite pour crime contre l'humanité, quoi.


« Non ?

- En fait, nous n'avons aucun pouvoir de décision. Donc je peux vous informer que vous êtes à découvert, que votre crédit a été accepté (zut, le mot est lâché !), mais en revanche, je ne peux rien faire de plus que vous dire que tout sera réglé dans 24 heures ».


Et là, d'un coup, je comprends tout le désarroi de Bill Muray dans « Un jour sans fin ».


(...)


J'en ai été quitte pour minauder honteusement et faire ma petite voix de quand mon père m'envoyait, quand j'avais 10 ans, négocier un bibelot dans un vide grenier improbable, lorsque arrivé en resquilleur à Antony, j'étais tombé nez à nez avec un vigile aux allures de Terminator, version boucher.


C'est fou comme la féroce crédibilité d'un juriste peut voler d'un coup.

Suffit que ses poches contiennent 3 malheureux euros et une carte bleue fumante et bloquée, en fait.

 


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9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 12:32
Hop, un petit reportage vidéo dans les locaux d'Overblog -mon boulot, quoi je l'ai pas encore assez dit ?- , pour tout ceux qui me croyaient pas quand je leur disais que l'air de rien, "y'a bon".

Le "reportage" est de Nerdz, une équipe de blogueurs un peu déjantée dont j'ai parlé récemment ...



Première Partie
Envoyé par unecaseenmoins sur wat.tv



Seconde Partie
Envoyé par unecaseenmoins sur wat.tv

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9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 10:20

Bon les aminches, je ne sais plus quoi faire moi !

Je croyais avoir trouvé une super idée consistant à virer de ce blog tout les articles qui n'ont strictement rien à voir avec le thème plus ou moins affirmé de ce blog (un truc vaguement en rapport avec un Nicolas qui serait plus grand, mais qui aurait été petit, enfin je sais pas si ca se voit, vous me direz hein ?) et v'la qu'on me dit que les derniers articles sont pas si ignobles ?

Chienne de vie, tiens.

En parlant de cela, il faut avouer que d'autres ont incroyablement plus de soucis que moi, notamment lorsqu'ils découvrent que leur petite (!!! enfin, façon de parler) amie fait picoti-picota avec un autre ...

Ca y'est, je parle de lapins, j'ai touché le fond.

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2 décembre 2008 2 02 /12 /décembre /2008 00:36

Brune et moi lançons un petit site pas du tout inspiré du concept de vie de merde (mais alors pas du tout. D'abord, notre site à nous, il est blanc.) pour aider ceux qui -comme nous- risquent de galérer à trouver des idées de cadeaux de noël, et passer -par conséquent- totalement à coté de la plaque.


C'est fait de façon rigolote et c'est drôlement pratique.


Et c'est dit en toute objectivité, bien sur.


Jetez un coup d'oeil et participez !

C'est ici : http://cequejeveuxpournoel.over-blog.com



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1 décembre 2008 1 01 /12 /décembre /2008 13:47

Guru Josh Project - Infinity 2008





Bon, faut bien avouer que ce blog n'a jamais aussi mal porté son nom que ces derniers temps.

L'actualité à toujours eut le don de me faire sortir de mes gonds, et je crois que ca s'est vu.


Notez bien que je sors toujours un peu facilement de mes gonds.


Alors bon, je me contenterais avant de revenir dans le droit chemin des posts honteusement exhibitionnistes de vous renvoyer vers cette note de l'extra Maitre Eolas :

http://www.maitre-eolas.fr/2008/11/29/1227-reportage-de-terrain?cos=1


Utile pour comprendre ce qui s'est passé vendredi dernier, et surtout, pour savoir quoi faire lorsque des hommes à képi frappent à votre porte à 6h40 du mat, dans l'intention charitable de vérifier à l'aide de gants en plastique que votre "hygiène de vie" est "proprement" irréprochable.


J'ai toujours aimé faire imagé.


Alors donc, c'est reparti pour du vrai Petit Nicolas mais en Plus Grand, tout au plus peut-être m'autoriserais-je un petit mot assassin pour ce navrant "comique" que l'on nomme Jean Yves Lafesse, dont la "profession" consiste à se moquer de son prochain sur des chaines/radios de grande écoute, de qualifier son travail d'oeuvre, et d'attaquer tout le petit monde internet pour pleurer sur de prétendues atteintes à son "oeuvre".


... Autant vous dire que j'ai trouvé mon nouveau "Pascal Sevran".



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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 21:58

Je recommande vivement la lecture de cet article :


 

Médias

Un ex-PDG de Libération brutalement interpellé à son domicile

Du jamais vu dans une affaire de presse: le journaliste Vittorio de Filippis, qui a été directeur de la publication de Libération de mai à décembre 2006, a été brutalement interpellé à son domicile, à la demande de la juge Muriel Josié. Récit. 



Une explication de texte s'impose :

Il est clair et net qu'une pareille chose ne s'est jamais produit jusqu'à ce jour ailleurs que dans un état autoritaire/totalitaire de type Corée du Nord / Chine et consorts.


Que la France ose encore se réclamer de "pays des droits de l'homme" après ne pourra que faire hoqueter de rire les vraies démocraties.


Il est vrai que cela fait déjà quelques temps qu'elles y sont habituées, du reste.


Autre explication, qui a son importance : Jamais, ô grand jamais, une plainte pour diffamation n'a aboutit à pareil dénouement : interpellation à 6h du matin, garde à vue, et fouilles au corps (cad : un policier vous fouille le cul à la lampe torche, excusez du peu).


Quel but, dans tout cela ?


Cherchez bien. Quel est ce dirigeant d'entreprise qui jouit, malgré il est vrai un passé légèrement tumultueux mais il n'est pas le premier, d'une excellente réputation et qui a reçu un très peu discret coup de pouce il n'y a pas si longtemps de la Commission Européenne dans son combat contre le président de la République pour obtenir une licence 3G, au point que ce dernier ne sait plus quoi faire pour lui barrer le chemin ?


Xavier Niel.


Toute cette histoire n'est faite que pour on lui attribue le "crédit" de l'horreur qu'à vécu le journaliste, alors que s'il est évident qu'il souhaitait une suite à sa procédure pour diffamation, il n'aurait jamais ne serait ce que mandaté un avocat s'il avait su qu'on lui ferait porter pareil atroce chapeau. Ainsi, "on" espère que personne (en particulier les journalistes !) n'élèvera la voix pour protester en faveur de Niel lorsque ce dernier se fera méchemment éconduire, malgré le droit européen, malgré le droit, tout court.


Moralité : Mettez à terre toutes les valeurs d'un pays en démolissant deux hommes pour faire plaisir à votre ami qui refuse que "des romanichels viennent s'installer sur les pelouses de son chateau".


Qui s'en offusquerait ?


Excusez moi, mais je m'en vais vomir ailleurs, sur ce fait.


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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 17:06

... Je vous invite à aller voir ailleurs ^^


Provisoirement, hein !


Et, revenez !



Le site : http://nerdz.over-blog.net/


Et pour vous en donner un avant-gout :





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