Le Petit Nicolas mais en Plus Grand - Imaginez seulement que le Petit Nicolas soit devenu Grand ... Les aventures d'un ex étudiant en droit gaffeur, aujourd'hui en poste à Montréal.
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Bienvenue sur le blog du Petit Nicolas mais en Plus Grand !

Ce blog présente les navrantes aventures d'un ex étudiant en droit gaffeur et étourdi, sous la forme de petites histoires tirées de la vie réelle et tournées monstrueusement en auto-dérision. Depuis Juin 2011, le blog traite de mes nouvelles aventures au Canada et de mon installation à Montréal. Il n'est pas nécessaire d'avoir lu les anciens posts pour comprendre les nouveaux, ceci étant, et si c'était par la fin du blog que tout commençait ?

Alors pour reprendre depuis le début : 31 Octobre 2005 - Halloween et moi

Bonne lecture !
Nicopoi@GrandNicolas.com
30 juin 2009 2 30 /06 /juin /2009 11:59
Bon, ok, cela devient n'importe quoi sur ce blog, n'empêche que probablement que dans mon délire schizophrène dans lequel je m'identifie à Gaston Lagaffe, j'ai coché la case "moi aussi, je suis un ami des bêtes".

Le premier qui m'inscrit à Confessions Intimes prend une baffe.

Bref, non content d'être déjà doté de 2 chats roux ronronnants (prononcez très rapidement), un adorable petit chat gris-blanc vient d'élire domicile dans la cour de mon immeuble, il est très affectueux et semble visiblement perdu, sinon abandonné.

Voilà à quoi ressemble le fauve :


Cliquez ici pour voir d'autres photos


Si l'un de mes petits lecteurs Toulousains voulait adopter le bestiau, il éviterait à un Nico stressé de la vie d'avoir le coeur fendu en 2 chaque fois qu'en rentrant chez lui, il retrouve cette petite boule de poils ronronnante collée aux jambes comme un vieux malabar mal machouillé (re-prononcez très rapidement).

Et si c'était le propriétaire de la bestiole qui tombé sur cet article m'écrivait, ce serait encore mieux, mais je fais partie des gens qui considèrent que à Lourdes, pour 10 pseudos miracles validés, il y'a eut 967 accidents de la route mortels.

Après ok, c'était du public de Pascal Sevran, mais tout de même.

Mon mail : Kiforever@hotmail.com
Si vous avez juste une idée de personne susceptible d'accueillir le bestiau, n'hésitez pas plus à lui transmettre mon mail.

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24 juin 2009 3 24 /06 /juin /2009 10:33
Nico, dans son premier grand rôle de l'indien "Fils de la prairie qui use des boissons de l'homme blanc qui rendent joyeux"

Un classique.



... et dans son second grand rôle, pour lequel Télérama a déclaré, je cite, "En fait, Eastwood était tout simplement un imposteur à coté de lui", rôle de "Pedro le Mexicain nonchalant mais pas trop."

Nominé aux oscars de 2009 pour ce rôle, d'ailleurs.



Retrouvez enfin la bande originale de l'album sur les plus grandes plateformes légales, dans la rubrique "passé sur le plateau de Pascal Sevran" :



Merci à Ced pour sa contribution à la dernière horreur ci-dessus.
Méfiez vous des pâles imitations :


NB : Aucun rail de substance illicite n'a été maltraité durant le tournage.

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17 juin 2009 3 17 /06 /juin /2009 12:17
Depuis une semaine, j'ai accolé à mon titre ronflant et prétentieux de responsable juridique d'OB celui de pédant et sulfureux responsable éditorial. Cela consiste à faire beaucoup de choses dont, entre autre, trouver des blogueurs pour faire des éditos sur des sujets d'actualité de leur ressort, et, dès fois qu'ils viennent à manquer, préparer moi même un édito, dès fois que je veuille me lancer dans la confusion des genres.

Et pour l'édito qui va paraitre incessement sous peu sur le Bac, que j'ai passé avec autant de succès il y'a 7 ans que Pyrrus n'a écrasé les Romains à la bataille d'Héraclée en - 280, bataille qui tirerait son nom contrairement à la légende non pas du lieu où elle se produisit, mais de la tête que fit l'aide de camps de Pyrrus en meme temps qu'il agitait la main genre épaté, en disant "Hé, raclée ..."

Oui, j'ai honte.

Voici donc cet édito, que vous n'auriez jamais du voir.
Je tiens à dire au passage que Tom a sérieusement contribué à assumer une part de son ridicule.





Demain, ce sont un peu plus de 600 0000 lycéens qui devraient à leur tour connaître cette très particulière sensation de « au secours, je veux m'enfuir de là » lorsque assis derrière leur bureau, ils verront entrer dans leur salle d'examen une personne munie de l'enveloppe contenant le premier sujet de la première épreuve du BAC.

Sans parler de ce qu'ils éprouveront lorsqu'ils auront le fameux sujet directement posé sur leur table.

Ce stress, subit tous les ans par les candidats, est particulièrement entretenu par les générations déjà passées par les affres du Bac (probablement pour se venger d'avoir connu elles mêmes ce bizutage). Durant ces dernières semaines, elles n'auront pas manqué de marteler aux lycéens des grandes vérités telles que « tu dois avoir ton Bac », « aujourd'hui on ne peut rien faire sans le Bac », ou encore la remarque effroyablement vexante par anticipation : « de toute façon, aujourd'hui, le Bac ils le donnent... »

Et je m'adresse là directement aux candidats de demain : faire manger vos fiches de révision à l'auteur de ces répliques n'est pas une solution.

Non, et cent fois non, le Bac n'est pas donné. Il exige encore et toujours une maîtrise du stress, de la concentration, du travail… et du sang-froid, car, quand on a les yeux rivés sur leur trotteuse, on se demande, au fur et à mesure des épreuves, comment fait le voisin pour noircir autant de brouillons, s’il est normal d’avoir terminé de répondre aux questions en 1h au lieu de 3 et enfin si on arrivera à recopier le brouillon de 6 pages dans les 15 dernières minutes.

Seuls conseils utiles aujourd’hui : détendez-vous dans cette ultime journée, arrêtez de programmer vos calculatrices scientifiques (et oui, on l'a tous fait…), et prenez un bon bol d'air frais avant les épreuves de demain.
Bon courage à tous !

Nicolas - OB

Note : Profs, Instits, si vous avez publié sur le sujet du Bac, faites vous connaître en commentaires !De même, nous recherchons des contributeurs pour un édito sur la fête de la musique. Candidats au Bac, s'abstenir, vous avez des révisions à terminer, vous.


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13 juin 2009 6 13 /06 /juin /2009 23:41

Mkn

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11 juin 2009 4 11 /06 /juin /2009 15:46
C'est fou, on poste une vague histoire de croque-monsieur, et paf, 10 jours passent sans que l'on se soit rendu compte de rien.

Les aminches, me v'la maintenant responsable juridique ET éditorial d'Overblog, ce qui fait pas mal de boulot et des envies de suicide par défenestration dans un four à micro ondes rempli d'arsenic quand je rentre le soir chez moi. Mais sinon tout va bien, et je compte bien reprendre la publication de quelques posts avant l'été et ce satané début de mois d'Aout pendant lequel on dirait qu'internet est aussi désert que le crâne d'une présentatrice météo.

Ou pire, d'un présentateur météo. Le comble de l'horreur, quoi.

En attendant donc que le four à micro-ondes ne fasse Ding et que je sois enfin apte à vous narrer une histoire navrante de plus, je vous recommande la lecture de cet article rédigé comme une histoire du Petit Nicolas, sur le piratage, et tout, et tout.

... J'ai fait 2h30 de vélo hier soir pour défouler ma joie consécutive à la censure de la loi Hadopi.
Je vous dit même pas à quel point j'étais enthousiaste, tiens.

Bonne lecture, à très vite donc ...




Le piratage

L’autre jour à l’école, on a fait un spectacle pour les parents, un vrai avec une scène et des projecteurs. On était tous habillés avec des lunettes de soleil, des vestes en cuir et on criait « Allumer le feu ! » très fort, c’était terrible. Maixent avait une guitare électrique en plastique et Eudes tapait sur une batterie. Et vous ne devinerez jamais qui la maîtresse avait choisi pour faire le chanteur ! C’est moi ! J’avais un micro en plastique et je levais mes lunettes pour regarder le public. C’était très chouette, on s’amusait bien. Nos parents ont été drôlement impressionnés même que Maman a dit qu’elle n’imaginait pas que nous puissions faire autant de bruit.

(Lire la suite)

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29 mai 2009 5 29 /05 /mai /2009 12:40
 

Ma brune et moi, nous raffolons des croque-monsieur.

C'est bien simple, lorsque, en train de consulter pour la millième fois de la journée l'un de mes sites internet préférés où l'on apprend strictement rien, je la sens s'approcher de moi par derrière, et venir me susurrer à l'oreille d'une voix de présentatrice de numéro de rencontre par SMS : « j'ai une folle envie de croque monsieur » tout en se mordillant la lèvre, je me dis qu'effectivement, je me mettrais bien un petit truc croustillant sous la langue.

Alors on se met à table pour, préparer les croques.

Mais, et si dans l'intelligente éducation que m'ont fait mes parents (entendre à 8 ans « Avoir des enfants, c'est le jour où tu deviens définitivement le con de contribuable », ca marque) j'ai su éviter jusqu'ici de me retrouver avec des marmots sur les bras qui m'empêcheraient de savourer convenablement mes croques, j'ai démontré en revanche avoir beaucoup moins de recul au moment où j'ai décidé de munir mon couple de 2 adorables chats, dont un adore monter sur la table et lancer un petit miaou à fendre le cœur au moment où tu aurais plutôt en tête de fendre en 2 le cheese de ton croque.

Hum.

Le chat couché et ronronnant bruyamment au bout de la table, brune et moi tentions de reprendre la préparation des croques. Mais dans le délicat exercice de la chose, faut tout de même bien avouer qu'il est difficile de se concentrer sur le nappage en crème fraiche du pain doré lorsque le chat persiste à te regarder comme un collégien regarde la télévision lors d'un cours de bio sur le thème de l'éducation sexuelle.

Exemple fortuit, évidemment.

Mais, dans la préparation des croques, il y'a malgré tout pire que le chat ronronnant à proximité. Auteur de bien de frustrations culinaires, j'ai nommé le fou rire, qui intervient à l'occasion d'une réflexion forcément saugrenue mais spontanée, particulièrement lorsque l'on tient le couteau d'une main décidée pour parachever son œuvre.

« On est grave de préparer du croque à coté du chat, tout de même.
- oui, ca m'a fait bizarre quand tout à coup, mon pied à senti cette grosse boule de fourrure ...
- quoi, tu as cru que j'avais gardé mes chaussettes pour préparer des croques ? »

Eh oui, c'est ridicule de préparer des croques en gardant ses chaussettes.
D'où fou rire, vous comprendrez aisément.

(...)

La brune rigolait tellement quand je décidais de parachever le repas en le saupoudrant énergiquement de gruyère, que le croque-monsieur qui je croyais m'étais destiné s'en est subitement et à l'improviste ... transformé en croque-madame pour ma brune.

Moralité : éloignez les croques-monsieur des chats roux ronronnant.
... C'était un communiqué des hommes culinairement frustrés de leur midi.


(ce post a été intégralement rédigé sans sous entendu aucun. Évidemment. Mais je comprendrais que vous ne puissiez plus regarder les croque-monsieur de la même manière ^^)


 


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23 mai 2009 6 23 /05 /mai /2009 11:43

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15 mai 2009 5 15 /05 /mai /2009 11:59
Je passe pour être aussi détendu qu'un acteur Porno à la veille du tournage en une journée des 10 épisodes d'une série produite par Marc Dorcel.




Si les domaines qui me crispent sont légions, il y'en a un qui a le dont de me faire sortir de mes gonds immanquablement : l'horreur ci-dessus. C'est bien simple, en 2 ans d'emplettes de dernière minute, celles pour lesquelles on songe à défenestrer du chat parce que franchement se taper 10 minutes de queue (sans jeu de mot, sic) pour leur foutue litière, eh ben merde, bref, en 2 ans, je n'ai toujours pas réussi à afficher sur mon visage autre chose qu'un effroi total qui ne le cèderait qu'à l'envie de dégainer une tronçonneuse dans le bureau du graphiste qui m'a pondu cette atrocité sans nom.

Je suis d'une tolérance rare, vous en conviendrez.

Non mais cette affiche, tout me crispe dessus. Déjà, prenons le slogan publicitaire, aussi insupportable que navrant, mais quoiqu'il en soit à donner des envies de dégotter une grenade pas trop chère sur Ebay : « on vous voit dimanche ? ». On imagine le ton ingénu avec lequel « on » est censé lire cette phrase, genre avec la voix (très crispante également, au demeurant) de la buse de la SNCF qui te confirme que oui tu es bien arrivé à Matabiau, Matabiau, phrase dont on imagine que portée à l'écran, elle serait prononcée par la bonne ménagère de moins de 50 ans qui lancerait un petit clin d'oeil complice ponctué d'un petit rire pathétiquement niais.

Mais non, je ne suis pas remonté.
Je m'échauffe, juste.

Non mais sérieux, c'est quoi cette invitation à 2 balles de venir hanter une supérette aux néons aussi ternes que les couleurs de l'affiche, un dimanche ! Vraiment, y'a des créatifs que l'on enverrait bien étudier le terrain au Pakistan tribal, tiens.

Maintenant passons aux deux affreux, que l'on imagine rigoureusement choisis pour leurs qualités photogéniques : lui, une coiffure qui aurait fait hurler de rire un simple figurant de Hélène et les garçons, pas un pet de graisse alors que franchement, quand tu vas en urgence à la supérette du coin , c'est pour acheter un pack de bières, ce qui reste difficile à considérer comme light comme me le rappelle aimablement ma brune qui en vient à m'appeler Willy, du nom de l'orque ado qui faisait une crise d'identité dans le film du même nom. Mais elle, elle surtout ! Cet espèce de pull aux couleurs démentes qui inspirerait des envies au directeur de Tati de jeter l'éponge « parce que là, on pourra pas suivre aussi loin sur le plan du mauvais goût. » ! Un pull assez long pour couvrir le ventre du gros Zitrone, même en cas d'éternuement ! Ce pull qui remonte suffisamment haut pour que la fille jalouse qui vient faire ses courses ne surprenne pas son mec en train de reluquer quoique se soit et ne fasse un esclandre au milieu des yaourts Danone et des piles Duracel ! Et cette coiffure, cette coiffure ! Toute droit inspirée de celle de l'un des principaux protagonistes de la belle et le clochard, et je préfère ne même pas dire lequel !

Je ... je viens de revoir leur sourire béat.
Je crois que je fais un ... glubs ... glops ... malai ... gnap .


NB : Aucun blogueur n'a été irrémédiablement interné à l'asile après la publication de ce post.


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11 mai 2009 1 11 /05 /mai /2009 21:23

Le lundi matin, c'est toujours aussi douloureux de se lever que de marcher pieds nus sur un tapis de fakir rouillé (et plus sous garantie constructeur, tiens).

 

Ca, c'est ce qui n'a pas changé depuis mes années fac.

Et qui ne changera pas le prochain quart de siècle, évidemment.

 

 Je me lève tous les matins de la semaine à 8h55, c'est à dire 10 minutes après que mon réveil ait sonné, donc 10 minutes en retard sur le temps minimal et incompressible qu'il me faudrait pour prendre ma douche, nourrir mon chat qui tente de me tuer en se foutant dans mes jambes quand je lui verse son miaoumiam qui sent mon arrière grand-mère, et parcourir sur mon vélo les 800 mètres qui me séparent de mon boulot.

 

Sans parler du fait que mon vélo ne trouve rien de mieux à faire pour me retarder un peu plus que de dérailler lorsque le feu vient de passer au vert et qu'un bus au format char Leclerc vient de prendre juste derrière moi une accélération de formule 1.

 

Le lundi donc, arrivé cardiaque à mon poste de travail à 9H39 9H30 précises, ma première activité consiste à trouver la bouilloire dans la cuisine de mon boulot, chose particulièrement difficile lorsque l'on a les yeux d'un lapin atteint de la myxomatose un lundi matin à 9H40 9H31.

 

… Mes collègues vont enfin comprendre pourquoi la moitié de la bouilloire est répandue sur le sol chaque matin.

 

Mon café chaud, je m'installe devant mon ordinateur portable de boulot, impeccablement rangé en face de moi, ainsi que devant ce qui fut un temps un quart de la forêt Amazonienne, et qui se présente aujourd'hui sous la forme certes moins glamour de contrats, courriers d'insultes d'avocats teigneux, bref, plein de petites choses qu'on a pas envie de voir en sirotant son café brulant.

 

Raison pour laquelle je me plonge en lieu et place dans la lecture attentive de mes mails reçus le week-end.

... Mails qui contiennent des contrats, des litanies d'injures d'avocats teigneux ET numériques, etc ...

 

A midi, je sors de la lecture de toute cette prose pour constater que j'ai encore oublié d'organiser mon déjeuner, alors que la veille je m'étais invariablement juré de le rendre utile en en profitant pour entretenir mon réseau de contact.

 

En plus, je suis trop sur que Francois F. serait disponible, pris comme ca par surprise un lundi midi.

 

L'après midi, j'épluche enfin le courrier qui fait ressembler mon bureau au pont de San Francisco lors du tremblement de terre de 1906, et je commence à répondre aux plus urgents, voir même j'empoigne mon téléphone pour déminer de suite le terrain avec l'auteur de la missive incendiaire si je sens qu'il est à deux doigts d'envoyer l'armée, sinon l'Otan chez nous.

 

Y'a des nerveux, tout de même.

 

Quoique théoriquement, je pourrais me permettre de quitter le boulot à 18h sans trop m’angoisser sur une probabilité plus ou moins forte de devoir aller à court terme me faire expliquer à l’ANPE comment on rédige un CV par une andouille même pas foutue de faire la différence entre un Complément d’objet direct et indirect (et bim, j’ai insinué le doute en vous d’un coup, là !), ce n’est qu’à 19h les yeux aussi explosés sur mon écran que s’ils avaient fait un séjour au four à micro-ondes que je pars, histoire d’attraper ma brune à la sortie de son boulot.

 

Et chaque lundi à 19h, je me dis que j’aurais mieux fait de rentrer direct à la maison plutôt que passer 30 minutes à chercher l’improbable station de vélib qui ne ressemble pas au crâne de Michel Drucker.

 

C’est fou ce que c’est vide, une station de vélib un lundi à 19h.

 

Fin de journée donc pour le lundi, la brune et moi ressembleront généralement ce soir là, effondrés sur le canapé, à 2 croutes de fromage Président dans un frigo dévasté.

 

Parce que j’ai évidemment oublié toute la journée d’appeler du monde pour sortir ce soir là.

Putain de lundi.

 

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5 mai 2009 2 05 /05 /mai /2009 09:42
Bonjour à tous,

un vrai petit post d'ici la fin de la journée (ceux qui me connaissent savent que généralement, après ce type d'annonce, je fais le mort pendant 3 mois), en attendant, je vous suggère de jeter un coup d'oeil au blog de l'auteur du dessin ci-dessous, il est pas trop connu pour le moment et si cela venait à changer grâce à cette publicité que je lui fais, j'aurais ainsi un droit de préamption sur son âme.

Ce qui m'arrange, la mienne étant quelque peu cabossée ce qui m'incite donc à en changer au plus vite.
Tiens, faut que je me renseigne s'il y'a une prime à la casse sur ce genre de trucs.

Bref, son blog : http://djibdessine.over-blog.com/




NB : 718 visiteurs uniques hier sur mon blog (à peine 350 en moyenne par jour ces derniers temps, sinon). Cela faisait super longtemps, tiens.

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