28 octobre 2008
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15:20
Le premier qui remplace le « R » du dernier mot de mon titre par un « L » prend une baffe.
Diantre les aminches, que c'est dur ...
Oui, que c'est dur de boucler cette 3ème année de blog, de m'imaginer repartir sur une 4ème, c'est à dire et concrètement autant de bêtises sans nom publiées, de réponses fuyantes à mes darons qui s'interrogent s'il est très légitime de raconter ses brouettes nerveuses sur le net, d'évasions linguistiques chaque fois que ma brune me demande s'il est bien pertinent de parler de telle ou telle ex ...
C'est bien simple : tenir un blog, c'est être dans le même état 24h/24 que si l'on prenait une dizaine de RedBull en intraveineuse.
Ok, exemple de circonstances.
Je ne compte plus les posts que je commence, et que j'avorte au bout de quelques lignes au point que le Pape réfléchirait à faire une allocution sur le sujet lors d'une prochaine MJC.
En plus, le blog ça rend mégalo.
Que diantre pourrais-je vous raconter ? Mes histoires juridiques semblent vous ennuyer plus qu'une rediffusion d'un Théma à 3h du mat sur les mouvements d'humeur des oursins de méditerranée orientale, et mes inévitables gafferies ont déjà été tellement narrées que j'aurais peur que vous me preniez pour un boulet multirécidiviste sans imagination.
C'est déjà fait ?
Au temps pour moi.
Bref, je me cherche un peu, et bien que l'envie d'écrire soit toujours aussi forte, les idées de trucs sympatoches à raconter sont aussi pléthoriques que des scènes de cul entières dans Gossip Girl.
Bon dieu que c'est mièvre, cette série.
Donnez moi quelques jours pour trouver une nouvelle orientation à ce blog, et je tenterais de ne pas vous décevoir.
N'ouvrez pas les paris, ça pourrait être atrocement vexant.
Diantre les aminches, que c'est dur ...
Oui, que c'est dur de boucler cette 3ème année de blog, de m'imaginer repartir sur une 4ème, c'est à dire et concrètement autant de bêtises sans nom publiées, de réponses fuyantes à mes darons qui s'interrogent s'il est très légitime de raconter ses brouettes nerveuses sur le net, d'évasions linguistiques chaque fois que ma brune me demande s'il est bien pertinent de parler de telle ou telle ex ...
C'est bien simple : tenir un blog, c'est être dans le même état 24h/24 que si l'on prenait une dizaine de RedBull en intraveineuse.
Ok, exemple de circonstances.
Je ne compte plus les posts que je commence, et que j'avorte au bout de quelques lignes au point que le Pape réfléchirait à faire une allocution sur le sujet lors d'une prochaine MJC.
En plus, le blog ça rend mégalo.
Que diantre pourrais-je vous raconter ? Mes histoires juridiques semblent vous ennuyer plus qu'une rediffusion d'un Théma à 3h du mat sur les mouvements d'humeur des oursins de méditerranée orientale, et mes inévitables gafferies ont déjà été tellement narrées que j'aurais peur que vous me preniez pour un boulet multirécidiviste sans imagination.
C'est déjà fait ?
Au temps pour moi.
Bref, je me cherche un peu, et bien que l'envie d'écrire soit toujours aussi forte, les idées de trucs sympatoches à raconter sont aussi pléthoriques que des scènes de cul entières dans Gossip Girl.
Bon dieu que c'est mièvre, cette série.
Donnez moi quelques jours pour trouver une nouvelle orientation à ce blog, et je tenterais de ne pas vous décevoir.
N'ouvrez pas les paris, ça pourrait être atrocement vexant.